Outil culturel et de coopération de l’Ambassade de France en Israël, l’Institut français d’Israël, établissement à autonomie financière placé sous la tutelle du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères, a pour objectif de créer des collaborations fructueuses et durables entre la France et Israël dans les disciplines suivantes : la langue française, la culture (arts de la scène, arts visuels, livre, débat d’idées, audiovisuel, mode, gastronomie,…), la science, l’éducation et l’enseignement supérieur.
L’Institut français d’Israël déploie son action dans tout le pays, en s’appuyant sur trois établissements implantés à Tel Aviv, Haïfa et Nazareth.
L’Institut français d’Israël assure la promotion de la langue française en Israël, à travers les cours de français qu’il propose, en groupe ou à la carte, mais aussi à travers les établissements scolaires proposant un cursus français ou encore à travers le soutien apporté aux institutions et partenaires israéliens qui enseignent ou diffusent le français (établissements scolaires, universités, associations, etc.).
L’Institut français d’Israël organise également, en partenariat avec des institutions israéliennes, de nombreux événements, devenus des rendez-vous majeurs de la scène culturelle israélienne (le Festival du film français, le festival « Livres en scène », la Nuit de la philosophie, la semaine de la gastronomie française en Israël ou encore les Journées de la francophonie). Il propose aussi des conférences grand public et des rencontres professionnelles, et accompagne le développement d’échanges et de collaborations entre les artistes, professionnels, intellectuels, enseignants et chercheurs des deux pays, afin de favoriser la connaissance et la diffusion de la culture française en Israël.
Il soutient enfin les mobilités vers la France d’étudiants, de chercheurs, d’enseignants ou de professionnels, pour des séjours de courte ou longue durée.
L’EQUIPE
Ilana Cicurel, Conseillère de coopération et d’action culturelle de l’Ambassade de France en Israël, Directrice de l’Institut français d’Israël
Nathalie Gilbert, Directrice déléguée
Marine Ménetrat, Assistante de la Conseillère de coopération et d’action culturelle et Directrice de l’Institut français d’Israël
Service culturel et audiovisuel
Laurent Lalanne, Attaché culturel
Yaël Baruch, Responsable de projets culturels et audiovisuels
Guillaume Mainguet, Attaché audiovisuel et numérique
Service de coopération linguistique / département des cours de français
Thierry Peltreau, Attaché de coopération éducative et linguistique, directeur des cours
Lessie Doré, Assistante gestionnaire
Hélène Barsheshet, Adjointe au Directeur des cours pour la coordination administrative
Marion Bouveris, Chargée de coordination pédagogique
Laura Cohen, Secrétariat des cours
Service de coopération scientifique et universitaire
Nathalie Gilbert, Attachée de coopération scientifique et universitaire
Dafna Lebowitz, Assistante de l’Attachée et coordinatrice des bourses Chateaubriand et du programme Dialogues académiques
Esther Marciano, Coordinatrice Campus France (promotion des études en France et organisation des examens universitaires)
Service du livre
Stéphanie Souffir, Chargée du Livre et de l’Ecrit | Directrice de la médiathèque
Sandra Benhamo, Assistante
Service Communication, Relations Presse et Partenariats
Sabine Aiache, Responsable Communication & Relations Presse
Dorit Sharon, Responsable de Communication en ligne, réseaux sociaux, Newsletter et site internet
Deborah Beigel, Community Manager
Secrétariat Général
Stéphane Harzelec, Secrétaire général
Carole Katzman, Secrétariat du secrétaire général
Chalom Baroukh, Responsable Bâtiment, Réseaux, Informatique et Technique
Lisa Mamou, agente d’accueil
Michelle Azoulay, agente d’accueil
Arik Cohen, Chauffeur
Agence Comptable
Christophe Pozo, Agent comptable régional, Israël, Jérusalem et Territoires Palestiniens
Sophie Uzan, Fondée de Pouvoir de l’agent comptable
Institut français de Haïfa
Georges Diener, Consul Général de France à Haïfa et Directeur de l’Institut français de Haïfa
Nathalie Khalifa, Coordinatrice des cours et Régisseur
Kerfalla Camara, Factotum
Institut français de Nazareth
Arnaud Velon, Responsable de l’IF Nazareth
Yasmine Makhlouf, Secrétaire
Le Centre de Recherche Français à Jérusalem (CRFJ)
Le Centre de Recherche Français à Jérusalem (CRFJ) a pratiquement le même âge que l’État d’Israël. Créé en 1952 sous les auspices du CNRS, le CRFJ avait pour vocation initiale la recherche archéologique, comme l’indique son intitulé de l’époque : « Mission archéologique française ». C’est sous la houlette de son fondateur, le préhistorien Jean Perrot, que de nombreuses fouilles ont vu le jour, donnant naissance à une véritable école archéologique française sur le Levant Sud. Les années 1980 ont vu l’élargissement de sa mission à l’ensemble des disciplines relevant des sciences humaines et sociales.
Depuis lors, inscrit sous la double tutelle du CNRS et du MEAE, le CRFJ a largement développé ses activités de recherche en Israël. En témoignent les trois grands axes qui le structurent : l’archéologie bien sûr, mais aussi le temps long des traditions (histoire, philologie, science du religieux) comme celui, plus immédiat, du contemporain (sciences politiques, géographie, sociologie, anthropologie, arts et littérature). En témoigne également la diversité des programmes conduits en collaboration avec nos homologues israéliens, qu’ils soient issus des cinq grandes universités du pays ou d’instituts de recherche publics ou privés, ainsi qu’avec d’autres institutions de recherche françaises et étrangères.
Structure rattachée à l’Ambassade de France, son implantation à Jérusalem en fait le lieu par excellence de la rencontre de traditions universitaires multiples et du dialogue des cultures, par le biais de colloques internationaux, d’ateliers, de conférences et de séminaires. Outre le support d’un site web qui lui est propre (www.crfj.org) ainsi qu’une chaîne Youtube, la communication de l’ensemble de ces activités s’appuie sur le réseau des institutions françaises en Israël ainsi que sur une liste de diffusion sans cesse augmentée. Le CRFJ dispose également d’un carnet en ligne (crfj.hypotheses.org) pour valoriser ses recherches en cours.
L’équipe est constituée de 5 à 6 chercheurs-enseignants et chercheurs affectés ou accueillis en délégation, et d’une vingtaine de doctorants, post-doctorants et stagiaires de master. Durant l’été, les fouilles archéologiques soutenues par le CRFJ permettent la venue d’une trentaine d’étudiants et chercheurs français et européens en archéologie. Outre les conférences mensuelles grand public ainsi que les séminaires de recherche, une dizaine de rencontres internationales sont organisée par an, en association avec nos partenaires locaux (environ 100 chercheurs et enseignants-chercheurs invités par an).
François-Xavier Fauvelle, Directeur
Lyse Baer-Zerbit, Responsable administrative
Laurence Mouchnino, Administration / Gestion site Internet
Équipe de recherche axe 1 – Archéologies du Levant Sud
Équipe de recherche axe 2 – Histoire, Traditions, Mémoire
Équipe de recherche axe 3 – Israéliens et Palestiniens : sociétés et cultures contemporaines
Site du CRFJ
L’Institut français d’Israël assure le rayonnement de la langue et de la culture française en Israël.
Dans le domaine culturel, l’Institut favorise et assure le développement des échanges entre la France et Israël dans l’ensemble des domaines artistiques et de la création contemporaine (Arts Visuels, Spectacle Vivant, Design, musiques classiques et actuelles…) avec pour objectif de renforcer les liens et les opportunités de collaboration entre les organisations et les artistes des deux pays en apportant un appui tout particulier aux créateurs français et israéliens les plus prometteurs. Pour ce faire, l’Institut organise dans ses 3 antennes de nombreux événements culturels et apporte son soutien à des évènements organisés par des partenaires israéliens (institutions, compagnies et salles de spectacles, musées, galeries, festivals, écoles d’art, etc). L’Institut accompagne également la mobilité des artistes israéliens dans le cadre de programme de bourses et de résidences en France.
Dans le domaine audiovisuel, l’Institut est au cœur de la stratégie française d’attractivité et de coopération. Son spectre de compétence est large : Cinéma, Télévision, Radio, plateformes Internet, Jeu-vidéo et Musiques Actuelles.
Mais son action se concentre plus particulièrement autour de quatre secteurs d’activités, déclarés prioritaires dans le cadre du plan d’action de l’Ambassade sur les Industries Créatives et Culturelles : le Cinéma, les Séries, l’Animation et la Réalité Virtuelle.
Son action s’articule autour des axes suivants:
– Soutenir la création française en Israël notamment au sein des principaux festivals d’Israël, mais également en co-organisant le Festival Film Français.
– Valoriser l’expertise française, principalement auprès des jeunes professionnels israéliens via des Master class ou Workshop, ; à l’image du MIFA International Workshop en partenariat avec le Jerusalem Film Fund ou de l’atelier Studio Darom initié par le Festival des Trois Continents et Sapir College Academy.
– Favoriser les coopérations et échanges entre professionnels français et israéliens : plusieurs accords, à l’initiative de l’IFI (Accord de coproduction France- Israël, Résidence d’écriture de série CNC – GMFF) ont contribué significativement à l’accélération des relations entre professionnels.
Dans le domaine du livre et du débat d’idées, l’Institut français assure la promotion du livre français en langue originale et en langue hébraïque en apportant une expertise au service de l’ensemble des acteurs de la chaîne du livre – auteurs, éditeurs, traducteurs, bibliothécaires et libraires, en particulier avec les librairies françaises du pays (Librairie du Foyer à Tel Aviv et librairie Vice Versa à Jérusalem), vitrines locales de l’édition française contemporaine, et en encourageant la lecture de livres en langue française ou traduits du français grâce à La Closerie et à CULTURETHEQUE, respectivement médiathèque et bibliothèque numérique de l’Institut, ou auprès d’un public scolaire par la création d’un prix littéraire, le Prix de la fondation Jacqueline de Romilly, initié en 2017. Cet encouragement à la lecture d’auteurs français passe par l’organisation d’un festival littéraire France-Israël, Livres en scène, proposé tous les deux ans, l’invitation d’auteurs de langue française ou de langue hébraïque, publiés en France, dans les locaux des Instituts français de Tel-Aviv, Haïfa et Nazareth, ou dans les manifestations littéraires internationales organisées localement (Festival international d’écrivains de Mishkenot Sha’ananim, Foire internationale du livre de Jérusalem, Festival de poésie Sha’har…) et une collaboration étroite avec les éditeurs israéliens pour la promotion des œuvres françaises publiées en hébreu.
En matière de débats d’idées, outre l’organisation ou le soutien à de nombreuses conférences, l’Institut français d’Israël organise depuis 2015 une « Nuit de la philosophie à Tel Aviv », qui rassemble chaque année, autour de philosophes français, israéliens et internationaux, plusieurs milliers de personnes.
Toute l’action culturelle de l’Institut français d’Israël s’appuie sur un réseau de partenaires publics et privés – locaux ou en France – qui valorisent la présence française en Israël.
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Aide à l’achat de droits, apportée par l’Institut français Paris
Sont concernés des ouvrages de langue française sous droits publiés en France à compte d’éditeur en littérature, sciences humaines et sociales, essais et documents, livre jeunesse, bande dessinée, théâtre et poésie.
L’Institut français à Paris peut prendre en charge (de façon partielle ou totale) les droits négociés comme inscrits sur le contrat de cession.
Calendrier : deux commissions annuelles, en février et juin
Envoyer toute demande avant le 1er janvier ou le 1er mai de l’année en cours à Stéphanie Souffir, médiathécaire.
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Aide à l’extraduction du Centre national du livre
Cette aide vise à soutenir les coûts de traduction en langue étrangère d’œuvres françaises. La demande est transmise par l’éditeur français. Sont concernés des ouvrages de langue française sous droits publiés en France à compte d’éditeur en littérature, sciences humaines et sociales, essais et documents, livre jeunesse, bande dessinée, théâtre, poésie.
Les taux de concours sont de 40% à 60% du coût de traduction.
Calendrier : trois commissions annuelles, le 31 octobre pour la session de fin janvier début février ; le 20 février pour la session de fin mai début juin ; le 10 juin pour la session d’octobre.
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Aide à la Publication, programme Eliezer Ben Yehuda de Institut français d’Israël
Soutien à la publication d’une œuvre de langue française en langue hébraïque. L’ouvrage peut être sous droits ou tombé dans le domaine public.
Date limite d’envoi des dossiers : le 28 février
Toute demande, accompagnée du formulaire ci-joint dûment rempli, doit être adressée à Stéphanie Souffir, médiathécaire.
En savoir plus sur l’aide à la publication – Programme Eliezer Ben Yehouda : ICI
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Bourse de séjour de traducteur étranger en France
Cette aide s’adresse aux traducteurs étrangers confirmés désireux de séjourner en France pour y mener un projet de traduction d’ouvrages français. Elle a pour objectif de développer le réseau des traducteurs professionnels du français vers les langues étrangères et de favoriser la publication d’ouvrages français à l’étranger.
En savoir plus sur le CNL (Centre National du Livre)
Présentation des dossiers
Le candidat doit fournir :
- le formulaire ad hoc dûment rempli à retirer auprès de l’Attachée pour le livre
- une lettre de motivation
- une note détaillée sur l’ouvrage à traduire
- un échantillon de traduction accompagné du texte français correspondant, ou 6 planches pour les bandes dessinées. L’échantillon de traduction doit représenter 10 % de l’œuvre originale, ou plus selon les cas laissés à l’appréciation du Cnl (projets d’envergure, ouvrage de poésie…)
- un exemplaire d’une traduction d’un ouvrage français déjà publié
- le catalogue et la présentation en français de l’éditeur étranger
- la justification des revenus du candidat pour l’année en cours
- la copie du contrat de traduction -signé par le traducteur et l’éditeur étranger- et une traduction en français des principaux points de ce contrat : titre de l’ouvrage et auteur, date de remise de la traduction, rémunération du traducteur et date de la signature du contrat
- la copie du contrat de cession de droits -signé par les deux parties- si l’ouvrage n’est pas dans le domaine public
- le cas échéant, le compte rendu du séjour et l’ouvrage traduit publié pour lequel la précédente bourse a été octroyée
- toute pièce administrative jugée utile par le Président du CNL.
Dates de dépôt des dossiers
Les dates limites de dépôt des dossiers auprès de l’Attachée pour le livre sont :
- le 30 décembre pour la session de mars
- le 30 mars pour la session de juin
- le 30 juillet pour la session de novembre.
Montant susceptible d’être accordé
- 2 000 euros par mois couvrant les frais de séjour à l’exclusion des frais de voyage
- durée du séjour : un à trois mois, et jusqu’à six mois pour les projets exceptionnels
Pour obtenir le formulaire de candidature, merci d’écrire à Stéphanie Souffir, médiathécaire, par email.
Sont concernés des ouvrages de langue française sous droits publiés en France à compte d’éditeur en littérature, sciences humaines et sociales, essais et documents, livre jeunesse, bande dessinée, théâtre et poésie.
L’Institut français à Paris peut prendre en charge (de façon partielle ou totale) les droits négociés comme inscrits sur le contrat de cession.
Calendrier : deux commissions annuelles, en février et juin
Envoyer toute demande avant le 1er janvier ou le 1er mai de l’année en cours à Stéphanie Souffir, médiathécaire.
Cette aide vise à soutenir les coûts de traduction en langue étrangère d’œuvres françaises. La demande est transmise par l’éditeur français. Sont concernés des ouvrages de langue française sous droits publiés en France à compte d’éditeur en littérature, sciences humaines et sociales, essais et documents, livre jeunesse, bande dessinée, théâtre, poésie.
Les taux de concours sont de 40% à 60% du coût de traduction.
Calendrier : trois commissions annuelles, le 31 octobre pour la session de fin janvier début février ; le 20 février pour la session de fin mai début juin ; le 10 juin pour la session d’octobre.
Soutien à la publication d’une œuvre de langue française en langue hébraïque. L’ouvrage peut être sous droits ou tombé dans le domaine public.
Date limite d’envoi des dossiers : le 28 février
Toute demande, accompagnée du formulaire ci-joint dûment rempli, doit être adressée à Stéphanie Souffir, médiathécaire.
En savoir plus sur l’aide à la publication – Programme Eliezer Ben Yehouda : ICI
Cette aide s’adresse aux traducteurs étrangers confirmés désireux de séjourner en France pour y mener un projet de traduction d’ouvrages français. Elle a pour objectif de développer le réseau des traducteurs professionnels du français vers les langues étrangères et de favoriser la publication d’ouvrages français à l’étranger.
En savoir plus sur le CNL (Centre National du Livre)
Présentation des dossiers
Le candidat doit fournir :
- le formulaire ad hoc dûment rempli à retirer auprès de l’Attachée pour le livre
- une lettre de motivation
- une note détaillée sur l’ouvrage à traduire
- un échantillon de traduction accompagné du texte français correspondant, ou 6 planches pour les bandes dessinées. L’échantillon de traduction doit représenter 10 % de l’œuvre originale, ou plus selon les cas laissés à l’appréciation du Cnl (projets d’envergure, ouvrage de poésie…)
- un exemplaire d’une traduction d’un ouvrage français déjà publié
- le catalogue et la présentation en français de l’éditeur étranger
- la justification des revenus du candidat pour l’année en cours
- la copie du contrat de traduction -signé par le traducteur et l’éditeur étranger- et une traduction en français des principaux points de ce contrat : titre de l’ouvrage et auteur, date de remise de la traduction, rémunération du traducteur et date de la signature du contrat
- la copie du contrat de cession de droits -signé par les deux parties- si l’ouvrage n’est pas dans le domaine public
- le cas échéant, le compte rendu du séjour et l’ouvrage traduit publié pour lequel la précédente bourse a été octroyée
- toute pièce administrative jugée utile par le Président du CNL.
Dates de dépôt des dossiers
Les dates limites de dépôt des dossiers auprès de l’Attachée pour le livre sont :
- le 30 décembre pour la session de mars
- le 30 mars pour la session de juin
- le 30 juillet pour la session de novembre.
Montant susceptible d’être accordé
- 2 000 euros par mois couvrant les frais de séjour à l’exclusion des frais de voyage
- durée du séjour : un à trois mois, et jusqu’à six mois pour les projets exceptionnels
Pour obtenir le formulaire de candidature, merci d’écrire à Stéphanie Souffir, médiathécaire, par email.
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Programme “L’éducation à l’image” – Kolnoar
A destination des collégiens et lycéens apprenant le français
Cinémathèques de Jérusalem, Haïfa et Holon
L’Institut français d’Israël propose, en coopération avec le Ministère de l’Education israélien, un programme de découverte du cinéma français (sous-titré en hébreu) destiné à un public de collégiens et de lycéens apprenant le français dans les établissements scolaires israéliens.
Il s’agit de présenter aux élèves, sur une année scolaire, trois films français en salle, dans les cinémathèques de Jérusalem Haïfa, et Holon. Chaque projection est précédée d’une conférence en hébreu animée par des professionnels franco-israéliens.
Kolnoar bénéficie du soutien de l’Institut français, et de la Fondation Jacqueline de Romilly sous l’égide de la Fondation de France.
En savoir + ? Contactez Thierry Peltreau, attaché de coopération linguistique et Directeur des cours de français, Institut français d’Israël
Programme “L’éducation à l’image” – Kolnoar
A destination des collégiens et lycéens apprenant le français
Cinémathèques de Jérusalem, Haïfa et Holon
L’Institut français d’Israël propose, en coopération avec le Ministère de l’Education israélien, un programme de découverte du cinéma français (sous-titré en hébreu) destiné à un public de collégiens et de lycéens apprenant le français dans les établissements scolaires israéliens.
Il s’agit de présenter aux élèves, sur une année scolaire, trois films français en salle, dans les cinémathèques de Jérusalem Haïfa, et Holon. Chaque projection est précédée d’une conférence en hébreu animée par des professionnels franco-israéliens.
Kolnoar bénéficie du soutien de l’Institut français, et de la Fondation Jacqueline de Romilly sous l’égide de la Fondation de France.
En savoir + ? Contactez Thierry Peltreau, attaché de coopération linguistique et Directeur des cours de français, Institut français d’Israël
La diffusion de la langue française est une priorité de la diplomatie française.
L’Institut français d’Israël propose des cours de français sur ses trois sites à Tel Aviv, Haïfa et Nazareth. En savoir plus
Le français est parlé par 274 millions de locuteurs dans le monde. C’est la 4ème langue d’Internet, la 3ème langue des affaires, la 2ème langue d’information internationale dans les médias, la 2ème langue de travail de la plupart des organisations internationales (ONU, OMC, OCDE, OIT, etc.) et la 2ème langue la plus apprise dans le monde avec 125 millions d’élèves et un demi-million de professeurs de français à l’étranger.
En Israël, ce sont plus de 500 000 francophones, dont 150 000 Franco-Israéliens, qui sont les principaux vecteurs de la langue française.
Pour renforcer cette présence du français en Israël, la coopération éducative et linguistique de l’Institut français s’élabore en partenariat avec les universités, le Ministère israélien de l’Education, le réseau des établissements à programme français homologués par l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger (AEFE) et le réseau FLAM (Français Langue Maternelle) destiné aux jeunes francophones israéliens qui veulent maintenir leur niveau de français.
Au moyen de bourses linguistiques, pédagogiques et culturelles, l’Institut favorise la mobilité et les échanges de jeunes.
Chaque année, en partenariat avec 13 ambassades de pays liés à la Francophonie, l’Institut célébre la francophonie et la diversité linguistique en Israël.
La coopération universitaire et scientifique permet le développement des échanges et des collaborations entre les universités et les institutions de recherche françaises et Israéliennes. A cette fin, le Service de Coopération Scientifique et Universitaire (SCSU) de l’Institut français entretient des liens particuliers avec les universités, les institutions et écoles de formation et de recherche, ainsi que les personnalités influentes des milieux scientifiques et d’enseignement supérieur.
Dans le domaine scientifique, le SCSU assure la promotion et la consolidation de la coopération scientifique franco-israélienne, notamment à travers le programme « Maïmonide » et les bourses Chateaubriand. Il encourage et accompagne également le développement de nouvelles collaborations entre les institutions françaises et israéliennes dans des domaines scientifiques majeurs (santé et biotechnologie, sciences de l’informatique et intelligence artificielle, sciences de l’environnement, spatial, etc.). Enfin, le SCSU valorise les avancées scientifiques et technologiques des deux pays par la participation et l’organisation d’événements (conférences, séminaires, café des sciences, etc.) et par la publication mensuelle d’un bulletin de veille scientifique et technologique (disponible ici ).
Dans le domaine universitaire, le SCSU facilite la mise en contact des acteurs stratégiques en France et en Israël afin de faciliter les signatures d’accords entre les établissements d’enseignement supérieur et de favoriser la mobilité étudiante.
Grâce à son bureau Campus France, le service de coopération scientifique et universitaire de l’Institut assure la promotion des études en France, encourage la mobilité et développe le réseau des Alumni, anciens étudiants israéliens ayant fait des études en France.
L’Institut français est également chargé de :
– Favoriser la coopération décentralisée en facilitant les liens entre les collectivités françaises et israéliennes
– Soutenir les programmes de volontariat, en particulier l’accueil de jeunes français entre 18 et 25 ans en mission de service civique en Israël dans des structures en faveur de la solidarité
– Encourager la coopération sportive entre la France et Israël, en partageant les valeurs de solidarité par le sport et en renforçant les partenariats entre les deux pays.
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Qu'est-ce que le Haut Conseil ?
Le Haut-Conseil franco-israélien pour la Science et la Technologie (HCST), créé en 2003, est l’instance chargée de définir les axes de la coopération scientifique franco-israélienne et de superviser le Programme Hubert Curien (PHC) Maimonide.
Le HCST est coordonné conjointement par le ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères (MEAE) et le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESRI) en France, et par le ministère israélien de la Science et de la Technologie (MOST).
Rassemblant des représentants des différents ministères concernés ainsi que de l’ambassade de France en Israël, il est co-présidé par deux personnalités du monde de la science et de la technologie :
- pour la France, Michel Cosnard, ancien président directeur général de l’Institut National de Recherche en Informatique et Automatique (Inria), ancien président du Haut Conseil d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (Hcéres)
- pour Israël, David Harari, ancien Vice-président R&D d’Israel Aerospace Industries (IAI), lauréat du Prix Israël.
Le HCST est coordonné par le Ministère Israélien de la Science, de la Technologie et de l’Espace (MOST) et les Ministères français de l’Europe et des Affaires Etrangères (MEAE) ainsi que de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI).
Pour plus d’informations sur le programme « Maïmonide », vous pouvez écrire à Camille Padet par email.
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Le programme "Maïmonide"
Le Programme Hubert Curien (PHC) Maïmonide est un dispositif franco-israélien de financement des coopérations de recherche. Il est mis en œuvre conjointement par les ministères membres du HCST.
Le Service de Coopération Scientifique et Universitaire de l’Institut Français d’Israël (Ambassade de France en Israël) a le plaisir de vous annoncer le lancement de l’appel à projets du PHC Maïmonide 2025-2026.
L’échéance pour la soumission des projets est fixée au 11 mars 2024.Chaque année, plusieurs projets de recherche franco-israéliens de 2 ans sont financés annuellement à hauteur de 80 000 € maximum par :
– le ministère israélien de la Science, de la Technologie et de l’Espace (MOST) ;
– le ministère français de l’Europe et des Affaires Etrangères (MEAE) ;
– le ministère français de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI).Pour postuler, des laboratoires français et israéliens doivent s’associer en binôme et envoyer un dossier de candidature au MOST du côté israélien et à Campus France du côté français.
Les thématiques de recherche qui seront financées en 2024-2025 sont :1. « Sécurité alimentaire et nutritionnelle » : développement de technologies innovantes en matière de production alimentaire, telles que les protéines de la mer et les protéines alternatives, ainsi que le développement de technologies pour des méthodes avancées de production alimentaire en vue d’assurer une alimentation saine et équilibrée pour tous.
2. « Gestion des ressources naturelles et des écosystèmes marins » : utilisation de techniques innovantes pour le développement économique autour de la mer : dessalement de l’eau de mer, la production d’énergie, la conservation, la dépollution, l’agriculture marine (poissons, fruits de mer, algues).
3. « Santé » : thérapies cellulaires innovantes, protéines bioactives et agents bioactifs à base d’acide nucléique.
4. « Ingénierie et numérique » : développement de nouveaux matériaux pour des applications électroniques.L’échéance pour la soumission des projets est fixée au 11 mars 2024.
– L’appel à projets est disponible (en anglais et français) sur le site de Campus France : https://www.campusfrance.org/fr/maimonide
– La saisie du dossier en ligne s’effectue également sur le site internet de CAMPUS France : https://www.campusfrance.org/fr/phc-candidaterPour plus d’informations sur le programme PHC Maïmonide, vous pouvez écrire à Nathalie Gilbert.
Le Haut-Conseil franco-israélien pour la Science et la Technologie (HCST), créé en 2003, est l’instance chargée de définir les axes de la coopération scientifique franco-israélienne et de superviser le Programme Hubert Curien (PHC) Maimonide.
Le HCST est coordonné conjointement par le ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères (MEAE) et le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESRI) en France, et par le ministère israélien de la Science et de la Technologie (MOST).
Rassemblant des représentants des différents ministères concernés ainsi que de l’ambassade de France en Israël, il est co-présidé par deux personnalités du monde de la science et de la technologie :
- pour la France, Michel Cosnard, ancien président directeur général de l’Institut National de Recherche en Informatique et Automatique (Inria), ancien président du Haut Conseil d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (Hcéres)
- pour Israël, David Harari, ancien Vice-président R&D d’Israel Aerospace Industries (IAI), lauréat du Prix Israël.
Le HCST est coordonné par le Ministère Israélien de la Science, de la Technologie et de l’Espace (MOST) et les Ministères français de l’Europe et des Affaires Etrangères (MEAE) ainsi que de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI).
Pour plus d’informations sur le programme « Maïmonide », vous pouvez écrire à Camille Padet par email.
Le Programme Hubert Curien (PHC) Maïmonide est un dispositif franco-israélien de financement des coopérations de recherche. Il est mis en œuvre conjointement par les ministères membres du HCST.
Le Service de Coopération Scientifique et Universitaire de l’Institut Français d’Israël (Ambassade de France en Israël) a le plaisir de vous annoncer le lancement de l’appel à projets du PHC Maïmonide 2025-2026.
L’échéance pour la soumission des projets est fixée au 11 mars 2024.
Chaque année, plusieurs projets de recherche franco-israéliens de 2 ans sont financés annuellement à hauteur de 80 000 € maximum par :
– le ministère israélien de la Science, de la Technologie et de l’Espace (MOST) ;
– le ministère français de l’Europe et des Affaires Etrangères (MEAE) ;
– le ministère français de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI).
Pour postuler, des laboratoires français et israéliens doivent s’associer en binôme et envoyer un dossier de candidature au MOST du côté israélien et à Campus France du côté français.
Les thématiques de recherche qui seront financées en 2024-2025 sont :
1. « Sécurité alimentaire et nutritionnelle » : développement de technologies innovantes en matière de production alimentaire, telles que les protéines de la mer et les protéines alternatives, ainsi que le développement de technologies pour des méthodes avancées de production alimentaire en vue d’assurer une alimentation saine et équilibrée pour tous.
2. « Gestion des ressources naturelles et des écosystèmes marins » : utilisation de techniques innovantes pour le développement économique autour de la mer : dessalement de l’eau de mer, la production d’énergie, la conservation, la dépollution, l’agriculture marine (poissons, fruits de mer, algues).
3. « Santé » : thérapies cellulaires innovantes, protéines bioactives et agents bioactifs à base d’acide nucléique.
4. « Ingénierie et numérique » : développement de nouveaux matériaux pour des applications électroniques.
L’échéance pour la soumission des projets est fixée au 11 mars 2024.
– L’appel à projets est disponible (en anglais et français) sur le site de Campus France : https://www.campusfrance.org/fr/maimonide
– La saisie du dossier en ligne s’effectue également sur le site internet de CAMPUS France : https://www.campusfrance.org/fr/phc-candidater
Pour plus d’informations sur le programme PHC Maïmonide, vous pouvez écrire à Nathalie Gilbert.
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Présentation
La reconnaissance, par de nombreux pays, de l’importance de la science dans l’action diplomatique nous invite à réaffirmer l’exemplarité de notre approche à cet égard. En effet, bien que la France ait toujours fait de la coopération scientifique et de recherche un élément clé de sa politique étrangère, l’émergence du concept de « diplomatie scientifique » nous invite à nous positionner plus précisément en formalisant nos objectifs stratégiques et les moyens de notre action.
Nous devons examiner les moyens d’accroître la contribution de la recherche française dans l’espace scientifique mondial, déployer une politique d’innovation en soutien aux stratégies internationales de nos entreprises, renforcer la mobilisation des acteurs de la science pour la recherche en faveur du développement et nous doter des moyens les plus performants pour relever les défis liés aux biens publics mondiaux.
En étroite coopération avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le ministère des Affaires étrangères (MAE) assure, en interministériel, la cohérence de cette action et mobilise son réseau diplomatique au service de l’attractivité de la France
La reconnaissance, par de nombreux pays, de l’importance de la science dans l’action diplomatique nous invite à réaffirmer l’exemplarité de notre approche à cet égard. En effet, bien que la France ait toujours fait de la coopération scientifique et de recherche un élément clé de sa politique étrangère, l’émergence du concept de « diplomatie scientifique » nous invite à nous positionner plus précisément en formalisant nos objectifs stratégiques et les moyens de notre action.
Nous devons examiner les moyens d’accroître la contribution de la recherche française dans l’espace scientifique mondial, déployer une politique d’innovation en soutien aux stratégies internationales de nos entreprises, renforcer la mobilisation des acteurs de la science pour la recherche en faveur du développement et nous doter des moyens les plus performants pour relever les défis liés aux biens publics mondiaux.
En étroite coopération avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le ministère des Affaires étrangères (MAE) assure, en interministériel, la cohérence de cette action et mobilise son réseau diplomatique au service de l’attractivité de la France